Contactez-nous pour prendre rendez-vous :
La vision sensible (ou vision fragile) est une perte de vue importante et rendant difficile une correction totale avec des verres traditionnels.
La vision sensible touche principalement les personnes âgées, souffrant d’une diminution de l’acuité visuelle causée par des pathologies oculaires dégénératives. Ce terme s’étend également aux personnes plus jeunes, lorsqu’elles sont atteintes de maladies héréditaires du système visuel.
Tâches, corps flottants ou flashs lumineux peuvent être des signes de pathologies initiales ou du résultat de micro-traumas ou de saignements.
La perte de la vision périphérique amène une vision tubulaire tandis que d’autres pathologies se traduisent par la perte de la vision centrale.
Certaines pathologies provoquent une vision moins détaillée à cause de mouvements involontaires dus à un trouble du réflexe de fixation.
Tâches de léopard.
La rétinopathie diabétique est une altération des vaisseaux sanguins rétiniens, entraînant une détérioration de zones rétiniennes spécifiques, la mort des cellules nerveuses et un décollement possible de la rétine.
Petites tâches rondes.
Dans les phases initiales, la maladie de Stargardt se manifeste par des modifications au niveau de l’épithélium pigmentaire de la rétine, sous forme de taches rondes ou pisciformes apparaissant dans le champ visuel.
Dans les stades avancés, la dégénérescence maculaire peut être accompagnée d’une dystrophie centrale aréolaire de la choroïde, entraînant une diminution de la vision centrale.
Diminution de la vision périphérique.
La rétinite pigmentaire est considérée comme une pathologie rare. Elle appartient à un groupe de maladies héréditaires qui produisent une dégénérescence rétinienne progressive.
Elle se caractérise par une perte progressive du champ visuel périphérique, qui concerne la vision centrale dans les dernières phases, et une cécité nocturne et crépusculaire.
Une tâche dans le champ de vision.
La maculopathie, ou dégénérescence maculaire, est la cause d’une diminution irréversible de la fonction visuelle, avec perte de la vision centrale. Même dans les cas les plus graves, elle ne provoque pas de cécité totale mais génère une tache (scotome) au niveau central, sans altérer la vision périphérique.
Vision brouillée.
Avec l’âge, le cristallin a physiologiquement tendance à perdre de sa transparence et à créer des opacités plus ou moins isolées, qui peuvent interférer avec la vision à plusieurs niveaux.
Perte de la vision centrale.
La neuropathie optique héréditaire de Leber (NOHL) peut se manifester à l’âge de 18 et jusqu’à 30 ans, avec une perte de l’acuité visuelle centrale brutale, indolore, aiguë ou subaiguë. Elle affecte soit les deux yeux simultanément soit séquentiellement, l’atteinte du deuxième œil survenant dans les huit semaines suivantes.
Après cette première phase aiguë, la pathologie a tendance à se stabiliser, laissant la personne dans des conditions graves de handicap visuel.
Vision floue de loin.
Dans les yeux des personnes myopes, les rayons lumineux venant des objets lointains se croisent devant le plan rétinien au lieu de converger sur la rétine, comme c’est le cas dans l’œil emmétrope, puis ils divergent, donnant une image floue.
Plus le défaut est sévère, plus la distance à laquelle l’image est nette se réduit.
Vision tubulaire.
Le glaucome provoque une altération du nerf optique et peut aboutir à des dommages irréversibles, entraînant une diminution du champ visuel. L’augmentation de la pression intra-oculaire, suite à une faible évacuation de l’humeur acqueuse, est un facteur de risque important du glaucome.